mercredi 21 décembre 2011

Une Vie de Souffrance

C’était l’année 2004 à London, Ontario.  C’était le dernier jour du traitement, le dernier jour de souffrance pour Mélanie.  Dans cette chambre blanche de l’hôpital, Mélanie a passé des jours, des semaines, des mois à endurer une douleur inexplicable.  C’était finalement le jour que cette petite fille de neuf ans pouvait retourné à vivre une vie régulière.  Lorsque le docteur l’a raconté cette tell nouvelle, des larmes de joie et de soulagement ont noyé les yeux bleus de la fillette et un peu de couleur a retourné sur sa visage maigri. 
Mélanie, étant une fille avec beaucoup de courage et persévérance, a été incroyablement forte durant cette longue période de temps très difficile.  Mais, elle n’était pas seule.  Son grand frère, Josh, a été avec elle tout le long.  Il avait prit excellant soin de Mélanie.  C’était grâce à lui que Mélanie a eu la force à battre cette maladie du diable qui est le cancer.  Même si Josh était seulement âgé de onze ans, il s’assumait une responsabilité beaucoup plus avancé de son âge.  Il était un garçon très intelligeant, un garçon de qualité. Ses cheveux bruns, frisés lui donnait une allure charment et innocent ce qui lui décrivait parfaitement.
Quelques années plus tard, en 2011, Mélanie était complètement guérie de son maladie.  Elle avait seize ans et elle allait à l’école secondaire Oakrige avec son grand frère qui a maintenant dix-huit and.  C’était le milieu du janvier et le froid était presque intolérable.  Il y avait un montant de neige extrême qui a couvert toute la surface de la ville.  C’était une des pires hivers dont London a jamais vue.
Jusqu'à date, l’année 2011 était pas mal bonne.  Tous ses commencé sur la bonne voie… Pour maintenant.  Un lundi matin, Mélanie marchait à son premier cours de la journée.  En regardant les murs de corridor, une affiche de tutoria avait capturé son attention.  Mélanie ses mit à marcher vers l’affiche.  Elle marchait avec confiance et n’a pas rendue compte du garçon qui courrait dans sa direction.  Le gars s’approche de plus en plus en ne sachant pas que Mélanie était dans son chemin.  Soudainement, il trébuche sur le pied droit de Mélanie et tombe avec une grande force.
« Es-tu correct? Je m’excuse, je ne pensais pas qu’il y avait quelqu'un qui courrait vers moi. » A dit Mélanie en paniquant.  Elle lui a offrit sa main pour l’aider à se lever mais il l’a tout simplement rejeté et dit « Tu trouves ça drôle, toi?, » Il se lève. « T’aimes-tu ça me voire tombé de même? »  Il s’avance plus prêt d’elle.  « Je ne pense pas qui tu sais qui je suis et ce que je suis capable a faire, n’est-ce pas? »  « Uh, non. » Mélanie a dit dans une petite voix. « Je suis Philipe et personne ne se moque de moi si il veut rester en vie. » A se moment Mélanie avait peur.  Son visage s’est réchauffé, les paumes de ses mains suaient et son cœur palpitait à toute vitesse.  Pour un instant elle voyait seulement les grands yeux bruns de ce caractère Philipe. 
Une voix familière a cassé sa transe.  « Hey toi, oui toi Philipe.  Lâche ma sœur!  Laisse la tranquille. »  C’était Josh!  La seconde que Mélanie a réalisé ceci, tous la nervosité qu’elle avait avant a disparue.  « Tu pense être fort Josh? » A demandé Philipe.  « Plus fort que toi, c’est sure. » A répondue Josh.   Après ça, tous est arrivé vite.  Philipe a sauté sur Josh et une bataille c’est produit. Mélanie paniquait, elle ne savait pas quoi faire, tout le monde était déjà en classe.  Il n’y avait personne en vue qui pourrait aider.  Ses yeux on chercher la scène mais il y avait vraiment personne. 
Mais ensuite, quand qu’elle pensait que tous espoir était partie, quelqu’un est apparue.  C’était une dame qui portait une jupe noire et une chemise blanche.  Le son de ses pas résonnait dans le corridor vide.  Elle portait des talons hauts, Mélanie pouvait identifier ceci juste par simplement entendre le clackson de ses souliers sur le planché de l’école.
Finalement, la dame s’arrête devant les deux gars qui se battaient.  Mélanie a regardé à la dame de plus prêt et elle réalise que se n’était pas la personne qu’elle voulait qui vienne.  « Retenue, pour tous les trois. » A dit la dame.  C’était la directrice de l’école, Mme. Tremblé.  Le soulagement que Mélanie ait ressenti lorsqu’elle a vue la dame de loin était maintenant remplacé avec la frustration.  « Mais Madame, c’était Philipe qui a commencé la bataille! » A protesté Mélanie.  Mme. Tremblé a répondue avec, « Je ne donne aucun exceptions. Vous avez tous un retenue à l’heure du dîner.  Tout le monde, suivez moi. »  Les trois adolescentes obéissent.
C’était l’heure du diner et Mélanie, Josh et Philipe se sont présentés pour leur retenue.  Mme. Tremblé était la surveillante.  Elle était assise au bureau dans la classe et regardait à chacun des trois avec un regard mécontent et irrité, comme si elle ne voulait pas être là.  Mme. Tremblé n’était pas la seule d’entre eux qui ne voulait pas entre à cette retenue.  Josh et Mélanie trouvaient que c’était réticule qu’ils soient punis ainsi que Philipe. 
Mélanie a tourné ses yeux vers sa gauche où Philipe s’assoyait.  À sa surprise, Philipe avait les yeux fixé sur elle.  Mélanie pouvait voir la haine dans ses expressions faciales.  Elle ne savait pas la raison qu’elle a des papillons dans l’estomac a chaque fois qu’elle lui jetait un coup d’œil.  Mais la raison était simple, elle avait peur de lui.
« C’est toute à cause de toi qu’on est ici! » Philipe parlait à Mélanie.  « Moi? Je n’ai rien fait! C’était toi qui courrais à toute vitesse dans les corridors. »  Mme. Tremblé interrompe, « Les élèves, c’est silence lors du retenue! » Mais Philipe n’a pas saisi.  « Je jure que tu m’as vue venir,  tu l’as fait par exprès de me faire tomber.  Tu voulais tout juste m’embarrasser! Espèce de cochon! »  Josh intervient, « Arrête de parler comme ça à ma sœur! Aie un peu de respect.  Ce n’est pas la faute à Mélanie, c’est ta faute qu’on est tous ici.  Alors ferme-la! »  Philipe ses levé.  Les prochaines minutes se sont produit au ralentie.  La main droite à Philipe c’est serré en poings.  Son bras a pivoté jusqu'à ce qu’il entre en contacte avec le visage de Josh.  Mélanie pouvait voir ses muscles fléchir grâce à l’impacte de la frape.  Et voila qu’une autre bagarre c’est éclaté. Mme. Tremblé a lutté de les séparer, en premier avec aucun succès.  Mais finalement elle a réussi d’arrêter la bataille. 
« J’en aie eu assai, vous trois allez rester après l’école se soir pour aider les concierges à nettoyer les planchés de l’école.  Je veux vous voire au secrétariat à 3h sans faute.  Est-ce que c’est compris?»  « Oui Madame, » A répondue les trois en même temps. 
Enfin, la cloche sonne.  Philipe était le premier à sortir de la classe.  Il avait presque couru de la classe, comme un animal qui est libéré de sa cage, a pensé Mélanie.  Cette idée a rapporté des frissonnements le long de son épine.  En toute honnêteté, Mélanie ne voulait pas passer plus de temps avec Philipe que nécessaire.
   La dernière période de la journée a semblé durer seulement quelques minutes, ce qui était l’opposé de ce que Mélanie voulait.  Elle ne voulait pas aller à sa punition.  En effet, elle ne voulait pas aller quelque part ou elle a une chance de voir Philipe.  C’est lui qui l’a mit dans cette désastre.  À 3h Mélanie et Josh se sont rendue au secrétariat.   À leur surprise, Philipe était déjà là avec un ballai en mains.  Il y avait deux ballais d’extra, un pour Mélanie et un pour Josh.  Ils ont tout de suite allée au travail. 
Quelques heures plus tard, l’école était brillante.  Ils ont complété leur punition et tout le monde était libre à partir chez eu.  C’était 5h du soir et déjà le ciel était noir.  L’air froid brulait les joues de Josh et Mélanie.  Ils commençaient à marcher chez eu.  Personne n’était dehors, c’était une nuit calme.  Il y avait une atmosphère mystérieuse dans l’air, comme si quelque chose allait arriver, mais quoi?  Ils étaient encore dans le stationnement de voiture de l’école quand Josh ses arrêté. « Oh, Mélanie, j’ai oublié mon livre to Science dans mon casier.  Reste ici, je vais aller le chercher. »  « D’accord, » A dit Mélanie.
Mélanie a regardé son frère qui court vert l’école.  Elle a mit ses mains dans ses poches pour le garder au chaud.  Le froid semble devenu plus difficile à tolérer dans une espace de quelques minutes.  Mélanie a donc décidé de retourner dans l’école pour attendre son frère.  Elle c’est retournée pour se rendre à l’école et voit Philipe devant elle.  Mais pas seulement lui, il y avait cinq ou six autre garçons avec lui.  « Bonjour Mélanie. » A dit Philipe.  « J’espérais que je vous trouverez ici. »  Mélanie ne savait pas quoi faire, elle avait l’impression que les gars qu’elle voyait devant elle ne sont pas venus pour simplement dire « Bonjour ».  Philipe c’est tourné pour faire face à ses amis.  « C’est elle qui m’a mit en retenue, le gars.  Peut-être que nous devrions l’apprendre une petite laissons. » Le groupe de garçons a ri en accord.  Ils s’approchent de plus en plus à Mélanie.  « Non, non, Josh! »
Josh a revenu avec son livre en main.  Il cherchait le stationnement d’auto pour Mélanie mais ne la trouvait pas.  « Mélanie, » Il crie, « Mélanie, ou es-tu? »  Il a entendu un grognement et a vu une bosse noir sur le pavé du stationnement.  Josh a couru vert la bosse et s’arrête en choque.   C’était Mélanie.  Ses vetements étaient toute déchiré.  Elle avait des bleus et des bosses partout sur son visage.  Elle couchait dans une flaque de son propre sang et elle respirait presque plus.  « Mélanie, qui t’as fait ça? »  Avec beaucoup d’effort Mélanie a réussit à répondre. « Philipe. »  C’était son dernier mot.  « Mélanie! Non! »  Josh a commencé à pleurer.  Il a perdu sa sœur, se n’était pas une maladie du diable qui l’a tué.   C’était le diable lui-même dans le corps d’un autre.         

mardi 4 octobre 2011

La course

Debout devant la piscine, mon cœur bat à toute vitesse.  C’est comme je peux entendre le battement de mon cœur et j’ai peur que les gens autour de moi peuvent l’entendre aussi. Chaque bat de mon cœur envoie un secoue électrique le long de ma colonne vertébrale.  Mon ventre semble réagir à ceci d’une façon qui me fait sentir mal alaise.  L’odeur de chlore remplis et brule l’intérieure de mon nez.  Lorsque je respire, mes poumons se remplissent d’air chaud et humide, l’air qui remplit les poumons de toutes les autres personnes sur la terrasse de la piscine.  L’humidité et la chaleur, ce sont la combinaison le plus pire.  J’ai la difficulté à respirer.  C’est comme mes poumons se sont enfermée et l’air qui rentre dans mon corps par mon nez et ma bouche reste pris dans ma gorge.  Des petites goutes de sueur coule sur l’arrière de mon cou et fait les petits cheveux de mon dos lever.  J’entends le sifflet qui indique au nageur de se mettre en position pour la course.
Les nageurs se mettent en place pour leur course, chacun d’eux sont aussi nerveuse que moi.  J’avance plus proche à la piscine et mon cœur bat de plus en plus vite. La foule va silencieuse et la tension monte.  Je m’installe en position près à plonger dans la piscine.  L’eau de la piscine est calme.  Pour quelques secondes toute mon attention s’est dirigée vers la tranquillité de l’eau, et mon cœur qui battait d’une vitesse incroyable il y a quelques secondes, retourne à un battement régulier.  La chaleur qui m’étouffait semble ne pas être aussi terrible à endurer.  Je lève ma tête et mes yeux trouvent le visage de mon entraineur.  Ses expressions sont calmes pendant qu’elle s’assoie sur une chaise à coté de la piscine et s’assure que tous les nageurs sont présents.  Finalement, elle dépose un stylo sur une table et repose ses mains sur ses genoux.  Ses yeux rencontrent les miennes.  Je lui donne un petit sourire nerveux, et elle revient avec un hochement convaincu de la tête.  Ce petit geste me donne un peu de confiance.  Assez de confiance pour calmer mes nerves de la moindre.  Je rebaise ma tête.  J’entends une voix familière qui crie mon nom.  Ensuite, deux autre voix joint au premier.  Tout de suite, je reconnais les voix et je peux identifier chacun d’eux.  Tout les trois des filles et tout les trois mes amies qui partagent les même émotions que je sens lors du temps d’une course.  Je souris à moi-même, heureux de les avoir à coté de moi lors de ma course comme appuie.  Enfin, le sifflet sone.
Le monde gèle autour de moi et je semble bouger au ralenti.  Je peux sentir les muscles de mes jambes pousser fort pour envoyer mon corps dans l’air.  Mes bras sont étendus par-dessus de ma tête et mes épaules écrasent mes oreilles.  Ma tête est baisée vers mon ventre pour que mon menton touche ma poitrine.  Mon dos est archée et mes jambes sont collées ensemble et j’ai les pieds pointé.  Mon corps s’est transformé en arc parfait.  Je prends une grande respiration avant de faire contact avec l’eau froide.  Mes bras brisent la surface de l’eau glacée et la tranquilité de l’eau disparait.  Le reste de mon corps suie.  Le choque de l’eau glacée me frappe immédiatement.  Je commence à nager en dessous de l’eau, la pression de l’eau sur mon corps bouche mes oreilles.  J’ai de moins en moins de souffle qui me reste.  La surface de l’eau est environs cinq pieds de haut.  Je dirige mon corps vers le haut.  Ma tête touche la surface de l’eau et je tourne ma face vers le coté pour prendre une respiration.  Mes poumons se remplissent d’air.  Je remets ma tête sous l’eau et la course commence.