Debout devant la piscine, mon cœur bat à toute vitesse. C’est comme je peux entendre le battement de mon cœur et j’ai peur que les gens autour de moi peuvent l’entendre aussi. Chaque bat de mon cœur envoie un secoue électrique le long de ma colonne vertébrale. Mon ventre semble réagir à ceci d’une façon qui me fait sentir mal alaise. L’odeur de chlore remplis et brule l’intérieure de mon nez. Lorsque je respire, mes poumons se remplissent d’air chaud et humide, l’air qui remplit les poumons de toutes les autres personnes sur la terrasse de la piscine. L’humidité et la chaleur, ce sont la combinaison le plus pire. J’ai la difficulté à respirer. C’est comme mes poumons se sont enfermée et l’air qui rentre dans mon corps par mon nez et ma bouche reste pris dans ma gorge. Des petites goutes de sueur coule sur l’arrière de mon cou et fait les petits cheveux de mon dos lever. J’entends le sifflet qui indique au nageur de se mettre en position pour la course.
Les nageurs se mettent en place pour leur course, chacun d’eux sont aussi nerveuse que moi. J’avance plus proche à la piscine et mon cœur bat de plus en plus vite. La foule va silencieuse et la tension monte. Je m’installe en position près à plonger dans la piscine. L’eau de la piscine est calme. Pour quelques secondes toute mon attention s’est dirigée vers la tranquillité de l’eau, et mon cœur qui battait d’une vitesse incroyable il y a quelques secondes, retourne à un battement régulier. La chaleur qui m’étouffait semble ne pas être aussi terrible à endurer. Je lève ma tête et mes yeux trouvent le visage de mon entraineur. Ses expressions sont calmes pendant qu’elle s’assoie sur une chaise à coté de la piscine et s’assure que tous les nageurs sont présents. Finalement, elle dépose un stylo sur une table et repose ses mains sur ses genoux. Ses yeux rencontrent les miennes. Je lui donne un petit sourire nerveux, et elle revient avec un hochement convaincu de la tête. Ce petit geste me donne un peu de confiance. Assez de confiance pour calmer mes nerves de la moindre. Je rebaise ma tête. J’entends une voix familière qui crie mon nom. Ensuite, deux autre voix joint au premier. Tout de suite, je reconnais les voix et je peux identifier chacun d’eux. Tout les trois des filles et tout les trois mes amies qui partagent les même émotions que je sens lors du temps d’une course. Je souris à moi-même, heureux de les avoir à coté de moi lors de ma course comme appuie. Enfin, le sifflet sone.
Le monde gèle autour de moi et je semble bouger au ralenti. Je peux sentir les muscles de mes jambes pousser fort pour envoyer mon corps dans l’air. Mes bras sont étendus par-dessus de ma tête et mes épaules écrasent mes oreilles. Ma tête est baisée vers mon ventre pour que mon menton touche ma poitrine. Mon dos est archée et mes jambes sont collées ensemble et j’ai les pieds pointé. Mon corps s’est transformé en arc parfait. Je prends une grande respiration avant de faire contact avec l’eau froide. Mes bras brisent la surface de l’eau glacée et la tranquilité de l’eau disparait. Le reste de mon corps suie. Le choque de l’eau glacée me frappe immédiatement. Je commence à nager en dessous de l’eau, la pression de l’eau sur mon corps bouche mes oreilles. J’ai de moins en moins de souffle qui me reste. La surface de l’eau est environs cinq pieds de haut. Je dirige mon corps vers le haut. Ma tête touche la surface de l’eau et je tourne ma face vers le coté pour prendre une respiration. Mes poumons se remplissent d’air. Je remets ma tête sous l’eau et la course commence.
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